Ya está aquí septiembre con su vuelta a la rutina, el cole, el instituto,los días más cortos y las primeras lluvias del otoño. Empezamos un nuevo curso y desde el departamento de francés os deseo que lo paséis lo mejor posible. Bienvenidos los alumnos que se incorporan a 1º de ESO desde el colegio Virgen del Monte, a los alumnos de 3º de ESO de Alanís y a los nuevos alumnos de 1º de Bachillerato del Colegio Santa Clara, de Guadalcanal o desde cualquier parte, por supuesto a mis alumnos de años anteriores, a los que siguen estudiando francés y a los que no. Espero que el curso que hemos comenzado hoy nos enseñe cosas maravillosas a vosotros y a mí. ¡¡¡Nos vemos en clase!!!
El viaje a París fue algo más que un
viaje para todos mis compañeros y para mi, fueron 4 noches y 5 días
maravillosos que os voy a contar con todo lujo de detalles para que
entendáis por qué fue tan especial.
Salimos de Alanís y Cazalla sobre las
4 de la mañana y nada más llegar al aeropuerto se podía sentir el
nerviosismo de nuestros padres, el nuestro propio y sobre todo el de
las profesoras. El viaje no fue nada mal, los típicos miedos pero
nada en especial. Al llegar a Paris no nos lo creíamos...era
impresionante. Nada más llegar al hotel tras ver un poco de la
ciudad en bus nos dirigimos al metro hasta la Plaza del Trocadero
desde donde pudimos contemplar la Torre Eiffel al completo. Después
de un rato de cola conseguimos subir a la Torre y la verdad es que el
tiempo de espera mereció la pena al poder disfrutar de las vistas de
todo París. Cuando bajamos dimos un paseo por los alrededores de la
Torre Eiffel y L'Avenue Montaigue (la avenida de las tiendas de lujo)
antes de que oscureciera y nos montáramos en un barco para
disfrutar de los puentes de París. Antes de volver al hotel vimos la
Torre encendida y entendimos por qué la llaman la ciudad de la luz.
El segundo día lo empezamos algo más
cansados pero con las mismas ganas. Dedicamos toda la mañana a la
visita del Museo del Louvre y tras comer en los Jardines de las
Tuileries nos fuimos hasta el Sagrado Corazón. La subida fue grande
pero pudimos disfrutar de unas buenas vistas de París y luego
descansar y comprar recuerdos en una de las muchas cafeterías y
tiendas que hay en Montmartre. Para terminar el día fuimos hasta el
Moulein Rouge y a cenar, y por ultimo disfrutamos del ambiente del
barrio latino y conocimos la Sorbona.
El tercer día acabó con nosotros
aunque conocimos la mayoría de los monumentos y lugares más
destacados de Paris. Comenzamos por la Catedral de Notre Dame,que
visitamos por dentro y el puente de los candados. Pasamos por el
enorme ayuntamiento de París y llegamos hasta el Centro Pompidou.
Tras descansar un poco seguimos el recorrido por la Place Vendòme,
una plaza rodeada de joyerías y que cuenta con el prestigioso Hotel
Ritz. Dimos un paseo por el Jardín de las Tuileries hasta llegar a
la Place de la Concorde donde observamos el Obelisco y desde donde
comenzamos a recorrer les Champs Élysées. Por último visitamos el
Arco del Triunfo y el Arco de la Defense antes de volver al hotel
totalmente agotados. Ese día contamos con la compañía de una prima
de Elia, con la que conseguimos practicar algo de francés.
No importaba lo que hubiéramos dormido
la noche anterior, porque esa mañana nos despertábamos con la
ilusión de cuando eramos pequeños...ese día lo íbamos a pasar en
DisneyLand París. Fue un día fantástico, y a pesar de los
problemas con el espectáculo y las atracciones será uno de los
momentos más inolvidables del viaje.
El último día lo aprovechamos dando
un paseo por los alrededores del hotel, recogimos las maletas y nos
fuimos al aeropuerto..lo bueno se acababa y hasta que no llegamos a
España de nuevo no asimilamos donde habíamos estado, aunque si
teníamos claro y lo seguimos teniendo que ha sido una experiencia
entre amigos que no olvidaremos nunca.
Le réalisateur David Trueba a été le grand vainqueur de la 28e édition des prix Goya, plus hautes distinctions annuelles du cinéma
espagnol, en remportant six récompenses, dont celle du meilleur film et
de la meilleure mise en scène, dimanche 9 février à Madrid.
David Trueba, frère cadet du cinéaste Fernando Trueba, a été primé pour son film Vivir es facil con los ojos cerrados (« Il est facile de vivre les yeux fermés »). Ecrit par Trueba à partir
de faits réels, le film retrace l'histoire d'Antonio San Roman, un
professeur d'anglais qui, pendant la dictature franquiste dans les
années soixante, donnait ses cours en utilisant des chansons des Beatles.
Incarné par Javier Camara, qui a obtenu pour ce rôle le Goya du meilleur acteur, le héros du film se lance dans un voyage improbable dans l'Espagne autoritaire, intransigeante et sexuellement réprimée de l'époque, afin de rencontrer John Lennon, qui tourne How I Won The War, un film de Richard Lester, à Almería. AMOUR, MEILLEUR FILM EUROPÉEN
Le film vénézuélien Azul y no tan rosa (« Bleu et pourtant pas si rose ») de Miguel Ferrari a obtenu le Goya du meilleur film latino-américain et Amour, de l'Autrichien Michael Haneke, a été sacré meilleur film européen.
Enfin, le Prix Goya de la meilleur actrice est allé à Marian Alvarez pour son rôle dans La Herida
(« La Blessure »), du débutant Fernando Franco, qui raconte l'histoire
d'une conductrice d'ambulance qui souffre de troubles de la
personnalité.
Cette 28e édition des Goya, qui s'est déroulée en l'absence très remarquée du ministre de la culture, José Ignacio Wert, a vu le président de l'Académie du cinéma espagnol, Enrique González Macho, critiquer
vivement l'augmentation de la TVA sur le prix des billets de cinéma,
qui passe de 8 % à 21 %, décidée par l'actuel gouvernement conservateur
espagnol.
Le rôle des enseignants est bien plus grand que celui d’apprendre
la discipline et l’alphabet à de jeunes enfants. Voici quelques exemples
de ce qu’ils accomplissent pour nous au quotidien.
Tous les enfants doivent aller à l’école. C’est
la loi. Tous les enfants sont donc confiés à des professeurs. C’est
comme ça. Certains de ces enfants aiment l’école, d’autres non.
Certains enfants apprendront plus facilement que d’autres et bon nombre
d’enfants aimeront l’école et apprendront plus facilement s’ils aiment
leur professeur.
Dès le départ, un parent qui respecte les professeurs de son enfant lui donne donc une longueur d’avance dans son parcours scolaire,
puisqu’il lui fournit les outils nécessaires pour apprécier chaque
professeur et l’écouter plus attentivement. Mais ce n’est pas la seule
raison pour laquelle nous devrions les aimer et en dire du bien.
Le flambeau de la connaissance
Notre système d’éducation est bien rodé. Est-il critiquable? Oui,
comme tout le reste. Mais dans les faits, c’est ce système qui permet à
nos enfants d’apprendre en un temps record des notions de français, de
mathématiques, d’histoire, de science, de géographie et d’éthique. Sans
ce système élaboré et les professeurs dévoués pour le maintenir en
place, nos enfants ne pourraient pas retenir autant d’information, aussi
vite.
Il ne faut pas oublier non plus que les professeurs parviennent à
transmettre toute cette information à un grand nombre de personnes à la
fois. Au primaire, au secondaire et même après, les professeurs doivent
faire comprendre le programme à tous ceux qui assistent à leur classe,
qu’ils soient motivés ou non et qu’ils aient de la facilité ou non, sans
ennuyer les plus forts, ni négliger les plus faibles.
En plus de transmettre le savoir, les professeurs préparent leurs
élèves à la prochaine étape, en collaboration avec les professeurs des
années suivantes.
Les parents
Comme si ce n’était pas suffisant, les professeurs doivent aussi
communiquer avec les parents. Alors que certains parents comprennent la
nature de leur travail et vont dans la même direction éducative qu’eux,
d’autres parents s’opposent carrément à tout ce que le professeur veut
apporter comme changements dans le comportement de l’enfant. Certains parents critiquent
le programme, d’autres n’aiment pas les systèmes de discipline et de
récompenses, quelques parents n’aiment pas les activités proposées et
d’autres blâment le professeur pour les mauvaises notes de leur enfant.
Plusieurs parents sont également outrés par la quantité de devoirs
que leur enfant rapporte à la maison, même si ces devoirs sont
essentiels. En effet, les devoirs donnent aux enfants une occasion de
pratiquer avant les examens et permettent aux professeurs d’accorder du
temps aux enfants un peu plus faibles en classe.
Tout cela, le professeur n’a pas toujours le temps de l’expliquer
parce qu’il y a beaucoup de parents et beaucoup de travaux à corriger.
Pas parfaits, les professeurs?
Évidemment, les professeurs ne sont pas parfaits, comme nous ne
sommes pas parfaits en tant que parents. Tout comme nous, ils ont
beaucoup de pain sur la planche et ont parfois des sautes d’humeur et
plus d’affinités avec des gens qu’avec d’autres. Il est aussi normal
que vous aimiez davantage un professeur qu’un autre et que votre enfant
ait une moins bonne année de temps en temps.
Toutefois, si un enfant qui ne sait ni lire ni compter parvient à
écrire une dissertation de dix pages, à jouer au basketball, à lire une
partition et à calculer l’accélération d’une balle qui dévale une
pente quelques années plus tard, c’est parce que plusieurs professeurs
ont bien fait leur travail en chemin.
Alors en cette semaine des enseignants, prenons le temps de remercier ces personnes qui font partie de nos vies pendant quelques mois. Ils le méritent amplement.
Con la idea de acercaros más la lengua francesa y con el fin de relacionaros con alumnos de otros países, me he puesto en contacto con un "collège" del norte de Francia, en la región de Bretagne, como os he comentado en clase. Espero que nos sea útil a todos y que aprendamos muchas cosas juntos. Os dejo el enlace del centro.
